La blessure d'injustice et le masque du rigide
- bugnicourthouartma
- 13 avr.
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La blessure d’injustice apparaît entre l’âge de 4 et 6 ans, au moment où l’enfant prend conscience de son individualité, de son unicité en tant qu’être humain. Cette blessure va un blocage de cette individualité, un sentiment de ne pouvoir s’exprimer et un sentiment de ne pouvoir être lui-même. Cette blessure est liée au parent du même sexe et peut avoir des origines différentes. L’enfant ne s’autorisera pas à écouter et vivre ses émotions.
Ce peut être lié à la froideur de ce parent, une attitude trop critique, psychorigide, trop sévère ou trop exigeante avec l’enfant peut l’amener à intégrer l’idée qu’il n’est pas capable de s’exprimer ou d’être lui-même. L’enfant va souffrir de son autoritarisme, de son intolérance ou de son conformisme.
Ce peut être dû à l’obligation de suivre l’exemple de quelqu’un, un grand frère, une sœur, un cousin, toujours cité en exemple pour ses qualités. En attendant que l’enfant soit pareil, celui-ci se coupe de qui il est alors qu’il aimerait être aimé pour ce qu’il est.
Ce peut être encore à cause d’un niveau d’exigence de ce parent trop grand, obligeant l’enfant à devoir exceller et être toujours le meilleur dans tous les domaines.
Enfin, ce peut être à cause d’une répression émotionnelle, un enfant qui ne peut exprimer sa sensibilité sous peine d’être jugé, voire puni. Par exemple un petit garçon qui entend son père lui répéter « un garçon ne pleure pas », ou « fais pas ta chochotte.
Toutes ces situations amènent l’enfant à croire qu’il ne peut être lui-même, le privant de sa liberté d’être. L’enfant qui ne s’est pas senti libre d’être lui-même va nourri un sentiment d’injustice. Son parent du même sexe n’a pas encouragé, facilité voire accepté sa personnalité. Cela va lui donner l’impression de ne pas être reconnu et apprécié à sa juste valeur, encore moins d’être respecté dans son intégrité. On lui transmet le sentiment que ce qu’il est et ressent n’a aucune importance, seuls semblent compter son apparence et son comportement concret. Il va comprendre qu’il est davantage aimé pour ce qu’il fait que pour ce qu’il est. Pour se protéger de cette souffrance, il va toujours être dans le « faire » et se couper petit à petit de ses émotions.
Sa blessure est cachée derrière une rigidité extrême et une exigence de la perfection. Par exemple, il ne supporte pas les fautes d’orthographe, les fautes de français, n’hésitant pas à utiliser un ton sarcastique pour montrer qu’il détient la connaissance.
Il faut savoir qu’une blessure d’injustice succède toujours une blessure de rejet. On pourra repérer un enfant qui porte cette blessure grâce à des remarques comme « ce n’est pas juste », « c’est injuste ».
D’un côté, le rigide ne supporte pas les plaintes mais il est le premier à le faire. La blessure d’injustice pourrait être ce qu’on appelle le « syndrome de Caliméro », c’est un état de mal-être permanent ponctué par des plaintes et un sentiment constant d’injustice et d’inégalité. La personne se sentira incomprise, aura l’impression qu’on ne l’écoute pas et aura tendance à se victimiser en permanence. On pourra l’entendre répéter ces phrases : « c’est toujours comme ça », « je suis toujours la dernière roue du carrosse », « ça tombe toujours sur moi », « ce n’est pas juste » …
Le rigide ne supporte pas les déséquilibres, qu’il existe des riches, des pauvres, il verra de l’injustice dans tous les domaines et cherchera par tous les moyens à rétablir l’équilibre.
Au niveau du caractère, le rigide sera colérique, râlera sans raison jusqu’à être très rigide avec les autres. Il a au fond, une faible estime de lui-même et reste convaincu qu’une sorte de fatalité s’est abattue sur lui. Ce sentiment va nourrir sa blessure et il trouvera finalement la sécurité dans cette position de victime. Il se justifiera pour tout et pour rien, pensant qu’il doit rendre des comptes et expliquer ses agissements. C’est une personne qui doute beaucoup de ses choix, il a la hantise de prendre la mauvaise décision. L’une des grandes craintes du rigide est de se tromper. Il accepte mal le fait de se tromper ou de faire des erreurs, faisant ainsi preuve d’injustice envers lui-même. Il confond discipline et rigidité, la discipline permet d’atteindre un but précis. S’il s’impose un rythme, quel que soit sa condition physique ou nerveuse, il le respecte, au dépend du résultat attendu.
Il va développer un perfectionnisme, se voulant performant pour devenir parfait. Il se compare aux autres, compare ce qu’il reçoit et a du mal accepter d’en avoir moins que les autres, et encore plus de mal à accepter d’en recevoir plus. Le problème est qu’il peut démarrer plusieurs projets en même temps, se retrouvant alors à cours de temps, se dispersant en cherchant à être trop parfait. Le burn-out est alors une conséquence possible de ce comportement.
Il nourrit la croyance que tout se mérite, il aura alors une attitude digne pour accepter de mériter quelque chose. S’il reçoit quelque chose qu’il ne pense pas mériter, il pourra faire en sorte inconsciemment de le perdre. Il a du mal à se détendre sans se sentir coupable, ce qui l’incite donc encore à ne pas écouter son corps et ses envies.
C’est une personne qui aime l’ordre, les choses bien faites, comme il pense qu’elles doivent être faites, bien rangées, catégorisées pouvant aller jusqu’à l’obsession. Il est difficile de lui faire entendre qu’il peut exister une autre manière de faire, la sienne étant toujours plus juste, plus justifiable. Elle ne respecte pas ses limites, n’écoute pas son corps même si elle est rarement malade.
Le rigide ne pense pas à se reposer, à prendre soin de lui et de son corps, à s’amuser. Il ne s’occupe que peu de lui. Il s’en demande encore et encore, tant que son corps lui permet. Il se sent dans l’obligation et le besoin d’être toujours en action, et n’est satisfait que lorsque le devoir sera accompli. Il se sent coupable de prendre des pauses ou de ne pas finir dans les temps qu’il s’est fixé.
Le rigide craint l’autorité, car il a enregistré enfant l’idée qu’elle avait toujours raison. Malgré tout, lorsqu’il pensera qu’une cause est juste à défendre, il montera au front et ira jusqu’au bout.
Sa grande quête de justice pourra le pousser à embrasser des carrières qui lui sembleront « nobles » dans le domaine médical, la justice, l’armée, l’enseignement. Ces professions qui lui permettront de concrétiser sa volonté de justice. Selon lui, la justice est la perfection, il faut que ce soit juste pour tout le monde. Cet état d’esprit pourra le rapprocher de la religion, la conception du « bien » et du « mal » le rassurant dans ses positions.
En portant ce masque rigide, froid et insensible, la personne blessée n’a au fond qu’un seul but : ne plus jamais être victime des critiques et de l’injustice du monde.
Au niveau relationnel
Le rigide est une personne qui a de la difficulté à montrer son affection malgré son hypersensibilité. Il cache ses émotions derrière un rire, une autodérision pour éviter d’avoir à reconnaître sa sensibilité. Il lui est d’ailleurs difficile de recevoir un cadeau, de l’affection, se sentant rapidement redevable. Plutôt que d’avoir à rendre quelque chose de la même valeur, il préfère ne rien recevoir, se privant ainsi d’une marque d’affection ou d’amour. S’il l’accepte, il rendra en retour quelque chose ayant la même valeur, pour que cela soit « juste ».
Les autres la perçoivent comme froide alors qu’il se pense sincèrement chaleureux. La froideur est pourtant sa peur première. S’il se sent accusé, la froideur se verra dans son regard et dans son attitude sèche et raide.
C’est une personne qui va rougir rapidement en société, si elle se rend compte qu’elle s’est trompé, que ce qu’elle confie ne se fait pas, ou qu’elle juge comme n’étant pas correct. Cette réaction indique qu’elle a honte d’elle-même, de ce qu’elle fait, continuant ainsi de se juger et d’entretenir sa blessure.
La colère étant l’émotion qu’il se laisse le droit de vivre sera alimentée par l’envie. La colère qu’il peut éprouver est essentiellement tournée contre lui, même s’il l’exprime envers les autres. Il n’apprécie pas les retards mais il le sera souvent, mettant trop de temps à se préparer.
Si on lui demande comment il va, il répondra sans réfléchir « tout va bien », en toute circonstance, tout est bien, rien n’est grave.
Naturellement, le rigide va se créer et s’attire une multitude d’obligations, devoir s’occuper de l’un, de l’autre, devoir remplir telle tâche, s’occuper de tel projet… se trouvant ainsi overbooké, victime de trop, victime d’un parent malade…le burn-out étant le risque de son hyperactivité.
C’est un ami fidèle, parfois trop optimiste, mais il doit se méfier de ne pas trop se victimiser devant son entourage, en sachant qu’il continuera ce rythme de vie effréné malgré les conseils que l’on pourra lui donner.
L’attitude plaintive peut amener les proches à se mettre à l’écart du Caliméro. Ceci pouvant de la même manière amener une tendance au repli sur soi, à la solitude ou à la déprime pour celui-ci.
Aimant ce qui est juste, c’est l’ami idéal pour les partages, tout est équitable, juste et justifiable.
Contrairement à la personne portant la blessure de trahison, et cherchant à contrôler l’entourage, le côté perfectionniste du rigide l’amènera à chercher à se contrôler lui-même.
Au niveau du couple
En amour, il est difficile pour la personne ayant la blessure d’injustice de se laisser aller, de ressentir du plaisir, d’accepter les marques d’affection de l’autre et d’exprimer ses sentiments. Elle a de la difficulté à démontrer son amour et à se laisser aimer. Cette personne camoufle les émotions au profit du rationnel à outrance et en permanence. Devenir moins perfectionniste, plus calme, plus spontanée, plus souple, se donner le droit d’être vulnérable et sensible serait tellement souhaitable.
Elle se prive d’exprimer ses sentiments, passant pour quelqu’un de froid, de distant, sans cœur et d’insensible.
Elle va rechercher l’amour en faisant des choses et non en étant elle-même, elle a intégré l’idée enfant qu’on l’aimait pour ce qu’il faisait.
La peur de se tromper lui fera remettre en question régulièrement son couple et freinera son engagement.
Au niveau de la sexualité, et de façon générale, cette personne pourra avoir plus de difficulté à se laisser aller et à vivre le plaisir. Il y a même une possibilité de blocage dans l’expression de la tendresse qu’elle pourrait exprimer ou ressentir. Le rigide, coupé de sa sensibilité risque pourra se retrouver anorgasmique pour la femme ou impuissant pour l’homme. On peut parfois observer chez l’homme une éjaculation précoce.
Hypothèse morphologique

Le corps du rigide est droit, raide et bien proportionné. Il a tendance à avoir une attitude fermée, bien souvent les bras sont croisés. Ses gestes sont rigides et sans grande flexibilité. On peut d’ailleurs observer des tensions au niveau de la mâchoire, du cou.
Sa taille est fine, les épaules aussi larges que le bassin pour les femmes et plus larges que le bassin pour les hommes. Les fesses sont rondes, le dos bien droit et la tête haute (cou raide).
Les croyances profondes seront physiquement visibles : les femmes doivent avoir des rondeurs et avoir un ventre n’est pas naturel, la taille doit donc être fine.
Le rigide aime s’habiller en noir et en tenue sexy ou mettant en avant son physique irréprochable.
En cas de surpoids, les kilos sont répartis de façon harmonieuse. Le désir de perfection le pousse à avoir un corps le plus parfait possible, corps qu’il exhibera en portant des vêtements serrés, en marquant la taille par une ceinture ou un vêtement cintré.
Maladies et symptômes
Une personne rigide ne pensera pas suffisamment à se reposer, à faire le calme au besoin, à s’amuser.
Le rigide est rarement malade, et lorsqu’il l’est, c’est qu’il a vraiment laissé la situation se dégrader. Etant totalement coupé de sa sensibilité, il l’est tout autant de son corps, qu’il traite durement. Il peut se cogner sans ressentir de douleur et ne s’apercevoir qu’après coup qu’un bleu est apparu sans se souvenir de l’origine de l’impact. Lorsqu’il se blesse et s’en rend compte, il dispose d’un mécanisme de défense qu’il lui permettra d’occulter en totalité ou en partie la douleur ressentie. De la même manière, il n’est pas à l’écoute des besoins fondamentaux, le besoin d’aller aux toilettes ne sera pas écouter, et il attendra toujours le dernier moment pour le satisfaire.
Le rigide aura des problèmes de tensions à différents niveaux du corps. Lorsque le corps se met à parler, on lui attribue des raideurs au niveau du haut du dos et du cou (torticolis). De la même manière, ces raideurs au niveau articulaire provoqueront des inflammations et des maladies en « ite » (arthrite, tendinite, bursite…).
An niveau de la digestion cette rigidité se manifestera par la constipation, des hémorroïdes, et au niveau circulatoire par des crampes, des varices.
Au niveau du système nerveux, le rigide est sous tension, il éprouve des problèmes de nervosité, d’insomnie, de burn-out. Le stress est un de ses problèmes, s’imposant la perfection, il est toujours sous pression.
Au niveau de la peau, les problèmes cutanés seront fréquents (eczéma, psoriasis…).
Le rigide préfère les aliments salés et croustillants, il abusera parfois de l’alcool et du sucré dans certaines occasions. Il fera cependant attention à ne pas prendre de poids, il lui faut un corps parfait, il n’acceptera pas d’avoir du ventre.
Tableau récapitulatif des attitudes et comportements
Sentiments | Attitudes |
Coupé de ses émotions et de sa sensibilité | Froideur, difficultés à accepter l’affection et les attentions |
Impression d’être victime, d’être la dernière roue du carrosse | Plaintif, endosse le rôle du « Caliméro » : « ce n’est pas juste », besoin de se justifier en permanence |
Psychorigide, impatient, intolérant, envieux | Très exigeant avec lui-même et avec les autres |
Sentiment de ne pas pouvoir être qui il est | Perfectionniste, hyperactif, dynamique, va « faire » pour espérer recevoir l’amour et le reconnaissance |
Peur de perdre le contrôle et de paraître imparfait | Associe sa valeur à ce qu’il fait et à son apparence et agit en conséquence |
Mauvaise estime de lui-même | Critique facilement les autres comme lui-même |
Optimiste et positif | Minimise ses problèmes et affirme s’en sortir sans aide extérieur |
Guérir sa blessure d’injustice
Pour guérir sa blessure d’injustice, il va falloir renouer avec sa sensibilité. Il lui faut accepter ses ressentis, ses émotions sans se juger, sans les juger et revenir à l’écoute de son corps. Atteindre la vraie sécurité, la vraie justice envers soi qui est porteuse d’amour et de douceur, signifie de revenir à soi, oser se sentir vivant, verbaliser les états d’âme, laisser progressivement transparaître sa sensibilité avec des gens de confiance.
Pour y parvenir, le rigide va devoir contempler qui il est, devoir s’accepter tel qu’il est avec ses qualités, ses défauts. En trouvant l’origine de sa blessure, un parent trop exigeant, une concurrence avec d’autres personnes vues comme parfaite, vous pourrez déjà relativiser et accepter que ces personnes aient agit en pensant faire le meilleur pour vous, et en reproduisant des principes et des valeurs qu’on leur avait enseignés aussi. Ceci étant fait, il va falloir évacuer la rancœur, la tristesse, la colère grâce à des activités artistiques (chant, danse, peinture, sculpture…), des séances de méditation, des sorties en pleine nature… La transformation des émotions est essentielle, en alchimie et en énergétique on parle de transmutation, la transmutation du monde de l’eau (notre milieu intérieur composé à 75% d’eau en moyenne) au monde de l’air, et ainsi une libération pour le corps. Il est fréquent pendant les 2 jours qui suivent la méthode que je pratique, que le corps des gens évacue à sa manière les émotions libérées, des besoins d’uriner fréquents, le nez qui coule, la diarrhée, les larmes, tous les liquides corporels permettent de fixer ces émotions refoulées pour ensuite les évacuer.
Comme pour chaque blessure, le challenge est de se rendre compte ensuite dans une situation si c’est la blessure qui s’exprime.
Prendre conscience de la blessure lorsqu’elle s’exprime à travers un comportement, une situation va lui permettre de changer la donne. D’abord, il faut observer de l’extérieur la situation, prendre du recul est la seule manière de comprendre ce qu’il se passe sans être submerger par les émotions ou rattrapé par des attitudes habituelles. Ensuite, se demander s’il n’y a pas un moyen différent d’agir, en connaissant les manières dont la blessure s’exprime, il est certain que la réponse sera positive. Enfin, sortir la situation en ayant agi différemment, en ayant agi sans laisser la blessure garder le contrôle.
C’est un petit jeu qu’il va falloir s’habituer à faire pour définitivement reprendre le contrôle des situations, dans le sens où il ne faut plus que ce soit la blessure qui s’exprime mais ma puissance intérieure.il ne faut donc plus attendre que la solution vienne de l’extérieur, mais trouver les ressources pour aller en soi chercher ce qui est de meilleur pour vous. La méditation peut vous aider tout comme la relaxation, toutes ces choses qui vous permettront de lâcher prise et de revenir en vous.
Enfin, il va falloir transformer ces plaintes en actions concrète, si je me plains de toujours devoir tout faire à la place des autres, je transforme en action concrète et je créée un planning ou chacun se verra une tâche attribuée en fonction de ses capacités. Il ne faut plus subir mais agir jusqu’à atteindre un but défini qui réponde et qui respecte ses besoins.
Cela va contribuer à retrouver un équilibre et une bonne stabilité émotionnelle.
Modifier votre comportement, votre attitude, signifie tenter de faire des liens entre votre réaction, la situation et votre blessure. Osez prendre contact avec votre vulnérabilité, les peurs, les reconnaître au lieu de les refouler. Donnez-vous du temps, soyez patient et prenez ça avec le sourire. Soyez humble en admettant que ceci vous touche, même si parfois le rire nerveux tente de cacher votre souffrance. Il faut parfois de l’aide, mais il faut avant tout beaucoup de douceur et d’amour pour soi.
Les fleurs de Bach pour apaiser la blessure d‘Injustice
Fleur de Bach | Emotions, états d’âme | Changement apporté |
IMPATIENS | Impatience, tension intérieure, pressé pour tout, réactions excessives | Apporte la patience, la tolérance, l’intelligence factuelle. |
OAK | Fatigue du courageux qui n’arrête jamais, sens du devoir | Apporte la ténacité, la résistance, en conservant une attitude équilibrée |
ROCK WATER | Rigueur extrême dans les attitudes et les idées, répression des besoins corporels et émotionnels à cause d’un idéal très élevé, contrôle, manque de flexibilité exigence avec soi-même | Apporte la discipline de la liberté intérieure, la flexibilité et l’ouverture à d’autres théories |
VERVAIN | Principes et idées bien arrêtées, besoin de convertir les autres à ses idées | Apporte la discipline, l’enthousiasme, l’acceptation de confronter ses idées à celles des autres |
VINE | Personnes compétentes, très sûres d’elles, inflexibles, dominantes, abus de pouvoir | Apporte la capacité d’influer sur les autres de façon positive |
WILLOW | Sentiment d’injustice, rancune, amertume, sentiment d’être une victime | Apporte la responsabilisation et l’optimisme |
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