COVID Long, et effets secondaires post vaccinaux - Recommandations et traitements complémentaires
- bugnicourthouartma
- 31 juil. 2024
- 15 min de lecture

Quel est le lien entre le COVID long et les effets secondaires de la vaccination ? la protéine Spike.
Aujourd’hui, les symptômes de la pathologie et de la vaccination sont regroupés sous un terme générique : « spikopathie ». Ce terme inclus toutes les réactions de l’organisme en lien avec une multiplication incontrôlable de cette protéine spike ayant un impact sur la réponse inflammatoire par le mécanisme rénine-angiotensine. En effet, les protéines spike virale et vaccinale peuvent être reconnues par un récepteur cellulaire et provoquer des pathologies cellulaires similaires. Je n’entrerai pas dans les mécanismes physiologiques et je vous conseille si vous souhaitez aller plus loin le livre[1] de Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS et de Estelle Fougères, journaliste scientifique.
Concernant l’infection au COVID
Certaines personnes ayant eu une forme plus ou moins grave de Covid peuvent souffrir de symptômes prolongés. Elles présentent 1 ou plusieurs symptômes initiaux 4 semaines après le début de la maladie. Cela peut se manifester dans plusieurs symptômes, pulmonaire, cardiaque, musculaire, digestif, neurologique et neuropsychologique.
Une étude de mars 2024[2] montre qu’il existe un lien entre la protéine spike et le COVID Long, celle-ci empêchant le phénomène d’autophagie cellulaire, ceci entraînant une processus inflammatoire et une intoxication de la cellule. On peut alors en plus d’une nutrithérapie adaptée, relancer le processus d’autophagie cellulaire. L’étude a mis en évidence que le jeun thérapeutique s’avère être efficace pour relancer ce phénomène d’autophagie, permettant alors à la cellule d’éliminer ses déchets, dont la protéine spike.
Concernant la vaccination
Le vaccin à ARN, sévèrement critiqué par des personnes de tout milieu (scientifique, politique, médical), ou même par des profanes taxés de complotistes (car en dehors du narratif commun), laisse aujourd’hui nombre de personnes en grandes difficultés. Les effets secondaires, bien que largement sous-estimés, ont provoqués de multiples symptômes, des morts subites, de pathologies aiguës et ont altéré chez de nombreuses femmes leurs cycles. La liste est loin d’être exhaustive et ces effets secondaires sont enfin reconnus par la plupart des agence de sécurité des médicaments. Vous pouvez d’ailleurs les consulter sur le site de l’ANSM (agence nationale de la sécurité du médicament) :
Pour résumer, voici la liste des effets déjà connus par les laboratoires avant la mise sur le marché (effets dévoilés pendant les effets cliniques, source : FDA, présentation en date du 22 octobre 2020[3]) :
Syndrome de Guillain-Barré
Encéphalomyélite aiguë disséminée
Myélite transverse
Encéphalite/myélite/Encéphalomyélite/méningioencéphalite/Méningite/encéphalopathie
Autres maladies démyélinisantes aiguës
Convulsions, crise convulsive
Accident vasculaire cérébral (AVC)
Coagulation intravasculaire disséminé
Narcolepsie et cataplexie
Anaphylaxie
Infarctus du myocarde
Endocardite/péricardite
Thrombocytopénie
Réactions allergiques non anaphylactiques
Maladie auto-immune
Décès
Arthrite et arthralgie/douleur articulaire
Maladie de Kawasaki
Syndrome multi inflammatoire systémique chez l’enfant
Maladie amplifiée par le vaccin
Concernant les cycles menstruels, un collectif a vu le jour en juin 2021 afin de leur apporter soutien et reconnaissance, le collectif « où est mon cycle ». Des femmes de tout âge, des adolescentes, ont vu leur cycle disparaître jusqu’au diagnostic de ménopause précoce, d’autres ont eu des hémorragiques qui n’en finissaient pas pouvant aboutir à une hystérectomie, et d’autres encore ont vu leur cycle revenir après des années, voire des décennies de ménopause.
L’ANSM (agence nationale de sécurité du médicaments et produits médicaux) a d’ailleurs publié en juin 2022 un guide[4] pour améliorer le recueil des signalements au centre de pharmacovigilance, pour aider les femmes victimes de ces effets secondaires et informer les professionnels de santé.
Les études portant sur les effets de la vaccination sur la fertilité sont nombreuses mais peu révélatrices, et ce qui caractérise la quasi-totalité de ces études est le manque de compréhension. En effet, on observe une multitude de symptômes parfois complètement opposés, une variabilité dans la survenue des effets, il est donc très difficile de trouver les dénominateurs communs et d’en tirer des conclusions cependant, la protéine spike semble toujours . Corinne Lalo[5], journaliste spécialisée dans la santé depuis 30 ans et auteure nous met en garde. Selon elle, dans une émission sur TV5 (L’invité), la protéine spike encapsulée dans les nanoparticules lipidiques qui devrait rester sur le site de l’injection du vaccin migre dans le corps. Ceci a été observé lors d’une étude effectuée sur la rat. Les nanoparticules lipidiques (donc le vaccin) voyagent dans tout le corps après l’injection avec une concentration élevée dans certains organes (dont les organes génitaux).
Une étude[6] réalisée sur des femmes âgées de 18 à 41 ans a mis en évidence que l’infection par le SRAS-Cov-2 et la vaccination contre la COVID -19 pouvait influencer le cycle menstruel et provoquer des altérations des fonctions de reproduction.
Comment se fait-il qu’un médicament censé nous protéger puisse avoir autant d’effets indésirables ?
Je vais essayer de vulgariser, de vous présenter de façon assez simplifiée le mode d’action de cette nouvelle génération de vaccins.
Contrairement à d’autres vaccins (charge virale affaiblie ou inactivée), le vaccin a ARNm va fournir l’instruction à nos propres cellules de produire un composant contre lequel notre système immunitaire devra se protéger. Pour rendre possible ce mode de fonctionnement, des nanoparticules lipidiques sont nécessaires pour transporter l’ARNmessager, qui sert de « recette » pour la fabrication de la protéines Spike, dans les cellules du corps humain. On utilise des nanoparticules lipidiques car, pour traverser la membrane des cellules composées de lipides, il faut des lipides !
En libérant cet ARNm dans la cellule, celui-ci est traduit par des organites appelés « ribosomes », ce qui entraîne la formation d’une protéine (appelée ici protéine de pointe virale ou protéine spike).
Cette production va alors déclencher une réponse immunitaire de l’organisme, qui doit reconnaître ces protéines comme « étrangères » et produire des anticorps. Ces anticorps seront alors actifs lors d’une éventuelle exposition au virus, empêchant la contamination.
Cependant, cette technologie n’est pas aboutie et de nombreux points non éclaircis subsistent :
La diffusion des nanoparticules à d’autres parties du corps. Normalement, celles-ci devaient rester au niveau du site d’injection (dans le muscle deltoïde) et l’on retrouve après des autopsies des protéines spikes disséminées un peu partout dans le corps et en nombre dans certains tissus, notamment dans les organes reproducteurs ;
La production d’anticorps facilitants, à l’origine du phénomène dénommé « ADE » (antibody-dependant enhancement), qui, au contraire des Anticorps neutralisants, va favoriser la survenue d’infections plus graves chez les personnes vaccinées ;
Les effets délétères des nanoparticules lipidiques comme moyen de transport de l’ARNm, qui vont s’accumuler dans certains organes (potentiellement les endommager et perturber leur fonctionnement) et favoriser un état inflammatoire chronique ;
La quantité d’ARNm à délivrer, très variable entre les vaccins disponibles, faisant suspecter que la dose optimale d’ARNm à administrer n’ait pas fait l’objet de recherche approfondies ;
La problème de contrôle de la quantité de protéines spike produite par l’organisme, qui doit dépendre d’une multitude de paramètres qui ne sont pas pris en compte comme les facteurs individuels (âge, sexe, comorbidités associées…). La fabrication par l’organisme peut aboutir à des niveaux de protéines spike incontrôlés et incontrôlables ;
La durée de vie de cet ARNm et de la protéine spike dans l’organisme, cette protéine était censée se dégrader rapidement mais ceci n’est resté que pure théorie…
La question de la retranscription de l’ARNm en ADN, qui signifie littéralement l’ intégration du matériel génétique viral dans le génome de nos cellules, pouvant conduire à une infection chronique, à un dysfonctionnement cellulaire à long terme (engendrant les cancers), voire à des mutations génétiques ;
Enfin et surtout, les effets indésirables des vaccins à ARNm, en rapport avec une atteinte du SRA (système rénine-angiotensine via la suractivation d’un récepteur (ATR) est responsable : d’un effet pro-inflammatoire, pro-hypertenseur, pro-oxydant, pro-thrombotique, pro-angiogénique, pro-hyperhémique, pro-fibrosant, pro-hypertrophique.
Ainsi, en connaissant maintenant les différentes problématiques provoquées par ce type d’injection, on peut se tourner vers les remèdes existants. En 2021, lorsque j’ai écrit mon premier ouvrage sur les remèdes naturels à avoir chez soi (« ma boîte à pharmacie naturelle » chez Mosaïque Santé), j’avais déjà répertorié la plupart des produits recommandés aujourd’hui.
Afin de débarrasser votre corps la protéine Spike, (et des adjuvants du vaccin) certains produits sont essentiels.
Je vous conseille dans un premier temps d’ouvrir vos émonctoires (voir l’article sur les émonctoires sur mon blog), ceci vous garantit que les toxines et toxiques libérés seront bien conduits vers la sortie et ne repartiront pas dans l’organisme. De même, je vous conseille de relancer le processus d’autophagie cellulaire en pratiquant la loi de l’hormèse (voir article « loi de l’homèse » sur le blog).
Ensuite, il va falloir activiter l’activité hépatique, prendre de quoi dégrader la protéine de pointe virale et de quoi la chélater. En parallèle, soutenir le système immunitaire.
Pour faut relancer l’activité hépatique et pour vous garantir une bonne détoxification
Le N-acétylcystéine, ou NAC, un précurseur du glutathion dans l’organisme. Préférer une cure de NAC si votre alimentation est suffisamment riche en aliments de la famille des Crucifères (brocoli, chou, épinard, navet, rutabaga, chou-fleur, chou de Bruxelles). Attention aux interactions médicamenteuses concernant les personnes ayant un traitement contre l’épilepsie (notamment la carbamazépine) et les personnes ayant des médicaments inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine. À prendre en cure de 2 mois, à raison de 600 mg 2 fois par jour. Le matin, complémenter avec du zinc (les deux sont essentiels pour dégrader certains adjuvants de la vaccination notamment).
OU
Le glutathion réduit liposomal : forme directe du NAC et puissant antioxydant. Le glutathion est une protéine, plus précisément un tripeptide qui est donc composé de trois acides aminés, à savoir l’acide glutamique (glutamate), la cystéine et la glycine.. En se liant à certaines toxines ou métaux lourds, mais aussi solvants et pesticides, il les transforme en composés hydrosolubles facilement éliminables par les glandes émonctoires (foie, reins, poumons, peau, colon). « Le glutathion a la capacité d’éliminer de notre corps toutes les substances toxiques polluantes, mais aussi carcinogènes[7]. ». Il est particulièrement efficace pour bloquer les effets du stress oxydatif lié à l’injection du vaccin. Il faut savoir que notre foie en fabrique naturellement et que c’est un agent essentielle pour lutter contre les infections. Plus on est petit, plus il en fabrique, plus on vieillit, moins il en fournit, d’où le fait que les enfants étaient vite rétablis après une infection COVID. Le paracétamol qui fut le premier traitement proposé par le corps médical inhibe la production de glutathion, et donc vous affaiblit royalement. A défaut de le savoir, il est aussi reconnu pour être la première cause de transplantation hépatique en France. Oui, au-delà de 2,5 grammes par jour, vous vous exposez à des problèmes hépatiques gravissimes.
Une alimentation riche en composants et aliments antioxydants : légumes verts, caroténoïdes, curcumine, vitamine C, pectines de fruits… je vous conseille de manger un maximum de fruits et de légumes crus (voir l'article "alimentation vivante" sur le blog).
Pour contrer les effets de l’ARN messager, et plus précisément les effets de la protéine Spike :
Une cure de bromélaïne, une enzyme capable de dégrader la protéine spike : 5000 GDU en deux prises au cours de la journée pendant 2 mois, en dehors des repas (si vous prenez un traitement anti coagulant, la bromélaïne a un effet fluidifiant sanguin, vous devez donc en parler à votre médecin traitant).
La nattokinase est une enzyme qui a montré une efficacité probante pour inhiber la fonction de la protéine spike du SARS-Cov-2. Dans une étude de 2021[8], des chercheurs japonais ont créé un buzz lorsqu’ils ont découvert que l’exposition de cultures cellulaires contenant le SRAS-CoV-2 à la nattokinase empêchait le virus d’infecter les cellules hôtes. L’enzyme a effectivement dégradé la protéine de pointe et, ce faisant, a arrêté le virus dans son élan. La posologie est d’une gélue par jour pendant 3 mois. Ce produit est essentiel pour dégrader la protéine spike (présente dans l’organisme par l’infection ou la vaccination) responsable des effets secondaires de l’infection ou de la vaccination (COVID long, endocardite, myocardite…).
Les aiguilles de pin sylvestre : en infusion, l’acide shikimique délivré par le pin sylvestre va diminuer les activités d’un grand nombre d’enzymes impliquées dans la synthèse et la modification de l’ADN et de l’ARN. Cette tisane va activer la production de globules rouges, aura une action antiagrégante plaquettaire (qui luttera efficacement contre les risques de thrombose), avec une action antivirale puissante. Enfin, elle renforcera le système immunitaire[9]. Rincer une botte d’aiguilles de pin sylvestre fraîches et ôter les extrémités marron, couper les aiguilles en petits morceaux, mettre 1 cuillère à soupe d’aiguilles pour 1 tasse d’eau et porter à ébullition pendant 1 minute dans une petite casserole. Boire l’infusion à raison de 3 tasses par jour en curatif ; 1 tasse par jour en préventif. Si vous n’avez pas de quoi faire des infusions d’aiguilles de pin sylvestre, vous pouvez faire une cure de gemmothérapie de pin sylvestre, à raison de 5 gouttes sous la langue 15 minutes avant chaque repas (donc 3 fois par jour). Pour les personnes ayant des problèmes hépatiques, préférer les tisanes de fenouil et d’anis étoilé, ces plantes ayant les mêmes propriétés.
L'artemisia annua: des études in vitro ont montré que cette plante agit sur de nombreux virus, comme les virus de la famille de l’herpès, du VIH et le Coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère. Le Coronavirus à l’origine de l’épidémie de 2003, le SARS-CoV-1, est très similaire génétiquement au Coronavirus actuel, dénommé Sars-CoV-2. Or une étude qui a testé l’effet antiviral de plus de 200 plantes contre le SARS-CoV-1, a montré que l’Artemisia annua était la deuxième la plus puissante, après le Lycoris radiata. Selon une étude: https://www.bernardsudan.net/covid19-chloroquine-et-artemisia-vers-une-autre-solution/, l’artémisinine et ses dérivés, un agent antipaludique, présentent une liaison plus puissante aux points chauds de liaison Lys353 et Lys31 de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 que l’hydroxychloroquine.
Pour chélater les toxines et toxiques libérés par la détoxification et la dégradation de la protéine Spike, il faut accompagner le processus :
Une cure de zéolite : en poudre ou en capsule, cette pierre volcanique est un puissant antipoison qui a la capacité d’emprisonner tout type de micro-organisme et de les expulser du corps (même effet contre les métaux lourds).
OU
Une cure de chlorelle : cette microalgue chélate avec efficacité les toxiques et les toxines : elle les capte, les stocke et les élimine de l’organisme. Le mieux est de faire une cure de 15 jours (pas plus longtemps car elle risque de vous déminéraliser en chélatant aussi les oligo-éléments). Vous pouvez poursuivre la cure avec de la spiruline, une autre microalgue, à raison d’1 à 2 grammes par jours pour reminéraliser l’organisme, son action antioxydante grâce à la phycocyanine qu’elle contient et poursuivre la chélation en douceur.
En compléments, privilégier dans votre quotidien les aliments riches en soufre, tels que l’ail, l’ail des ours et le brocoli, sont de réputés pour être de bons chélateurs.
Nutrithérapie pour tous les symptômes (COVID long et vaccin)
De la vitamine D3 : rôle de modulation du système immunitaire et participe via le microbiote à la réponse immunitaire (6000 à 10000 UI par jour pendant 15 jours et ensuite calculer : votre poids x 70 pour obtenir la nombre d’UI par jour)
Du magnésium : 350 mg par jour (cofacteur de la vitamine D)
Du zinc : 15 mg par jour cofacteur de la vitamine D3 (à prendre en même temps au cours d’un repas contenant du bon gras
De la vitamine C : 1 à 2 grammes par jour
Du Coenzyme Q10 : pour aider la réparation mitochondriale (la protéine spike détruit les mitochondries)
Des probiotiques pour réensemencer la flore intestinale (Lorsque le coronavirus a disparu des voies respiratoires, on le retrouve encore plusieurs après dans le système digestif, notamment dans les intestins)
Voici d’autres remèdes naturels pour les autres symptômes plus spécifiques liés à l’infection COVID:
Pour les problèmes d’anosmie :
- HE d’Eucalyptus radié ou d’HE de laurier noble
- HE de citron ou d’HE de lemongrass
- HE de clou de giroflier
- HE de rose de Damas ou d’Hélichryse italienne (immortelle)
- HE de menthe poivrée
Respirer à l’aveugle, Matin et soir, pendant 5 minutes, 4 huiles essentielles choisies parmi les précédentes (quelques dizaines de secondes pour chacune),noter ensuite les sensations perçues et l’odeur identifiée ou non.
S’exercer chaque jour pendant 1 mois, puis renouveler 1 mois si la rééducation olfactive n’est pas suffisante.
Pour les problèmes d’agueusie :
Déposer 1 goutte d’HE de Gingembre ou d’HE de poivre noir et 1 goutte d’huile d’olive sur un comprimé neutre, en sucer un 4 fois par jour pendant une semaine à 15 jours
Pour les troubles digestifs et les douleurs inflammatoires :
Réparer la muqueuse intestinale avec de la Glutamine : elle agit comme un ciment pour les jonctions serrées de la muqueuse intestinale et assure alors une bonne cohésion des cellules épithéliales. Ainsi, elle permet une meilleur perméabilité intestinale, en prendre au minimum 3 à 5 grammes par jour pendant 2 mois;
Privilégier une alimentation riches en prébiotiques (fibres), suivie d’une cure de probiotiques ;
Apporter de bons acides gras, huile d’olive, huile d’onagre, ou faire une cure d’Omégas 3 (notamment les EPA DHA) ;
De la quercétine (de 500 à 1 000 mg, 2 fois par jour) ;
En mycothérapie : Shitaké, Maîtake et Reishi, champignons permettant de rééquilibrer l’immunité défaillante et ayant un impact sur le microbiote intestinal ;
En phytothérapie : la curcumine issue du curcuma permet de prévenir et de contrer les dommages cellulaires causés par les radicaux libres et le stress oxydatif
En gemmothérapie : le bourgeon de cassis (pour ses vertus anti inflammatoires et anti rhumatismales qui agissent sur tout type de douleurs articulaires)
Pour les troubles infectieux et respiratoires :
Du cuivre : composant de beaucoup d’enzymes, il favorise l’activité antioxydante consommer une alimentation riche en flavonoïdes (aliments ayant une couleur bleutée comme le raisin, les myrtilles), ceux-ci participent activement à la réponse immunitaire, ils diminuent les infections des voies respiratoires.
Pour les troubles vasculaires (il est impératif de vérifier de taux de D Dimères, ceux-ci sont des résidus circulant dans le sang à la suite d’une coagulation. Leur taux s’élève notamment en cas de formation de caillots sanguins):
Des vitamines du groupe B ;
Des omégas 3 notamment EPA DHA ;
De la curcumine issue du curcuma permet de prévenir et de contrer les dommages cellulaires causés par les radicaux libres et le stress oxydatif et le ginkgo biloba jouant un rôle important sur la microcirculation générale et cérébrale ;
En gemmothérapie : bourgeon d’aubépine (vertus cardio-régulatrices) ou bourgeon de cassis.
Pour les troubles neurologique et psycho-neurologiques (augmentation des syndromes de type Alzheimer):
Des Omégas 3 (surtout EPA DHA) : nombreux bienfaits sur le plan cérébral, une carence pouvant entraîner des comportements dépressifs et d’autres troubles de la santé mentale
Le silicium est un agent chélateur idéal pour retirer l’aluminium (adjuvant utilisé dans la préparation des vaccins) dans le corps d’après le Pr Christopher Exley[10] qui a étudié la toxicité de ce métal depuis plus de 30 ans. Le silicium est un antagoniste naturel de l'aluminium. Une étude a montré que boire de l'eau enrichie en silicium augmentait l'excrétion urinaire de l'aluminium sans affecter l'élimination d'autres métaux tels que le cuivre et le fer. La prise de 30mg par litre d’eau de silicium organique quotidienne permettrait une élimination de l’aluminium, et 60 à 90 mg par litre aurait des effets très bénéfiques sur les symptômes de la maladie d’Alzheimer.
L’astaxanthine : 12 mg, un par jour. Autre antioxydant naturel, c’est une microalgue capable de piéger les radicaux libres et de protéger les cellules du stress oxydatif. À la différence des autres antioxydants, il a la capacité de pénétrer toutes les parties du corps, y compris les yeux et le cerveau, à prendre pendant 2 mois.
Voici les différents taux biologiques que l’on peut faire vérifier après les injections en cas de symptômes ou de doutes:
- Les D-Dimères
- La Vitamine D : norme sup à 70-80ng/l
- La Vitamine A : 70/100ng/l
- Le Zinc : sup à 100 ug/dl (il n’y a presque jamais de perte d’odorat quand le taux sup à 100)
- Le Glutathion GSH : 90
- La Ferritine : 60-70 ug/l
- Le DHEA : 300ug/dl pour les femmes et 400ug/dl pour les hommes
- La T3 : 5,2 pmol ou 3,4 ng/l et ne doit pas présenter de signes d’hypothyroidie (extrémités froides par exemple)
Autres conseils :
- Optimiser la flore intestinale avec une cure de probiotiques (tout vaccin a une action délétère sur la flore intestinale) ;
- Eliminer les aliments qui participent à l’inflammation intestinale (gluten, sucre édulcorants, lait de vache…) ;
- Il faut relancer le processus d’autophagie cellulaire par divers moyens.
Pour relancer l’autophagie cellulaire, il existe différentes méthodes basées sur la loi de l’hormèse (voir l’article « loi de l’hormèse » sur mon blog):
Le jeune thérapeutique (5 à 7 jours) ;
Le jeune intermittent (par exemple ne pas manger le soir, pendant 10 à 15 jours) ;
Placer le corps dans une situation de stress intense (bain très froid ou bain très chaud).
Pour relancer l’autophagie cellulaire, on peut aussi agir avec l’alimentation :
Manger des aliments riches en resvératrol (pigment violet): c’est un polyphénol de la classe des stilbènes présent dans certains fruits comme les raisins, les mûres ou les cacahuètes ;
Ajouter du curcuma dans vos plats (La curcumine est nombreuses propriétés antioxydantes et des vertus anti-inflammatoires. Source de fer et de manganèse, riche en vitamine B6).
Il faut prendre en compte que nous n'avons pas suffisamment de recul sur le vaccin pour savoir ce qu'il pourrait provoquer à long terme. Par exemple, il a fallu attendre 2009 pour qu'un lien soit enfin reconnu entre le vaccin contre l'hépatite B et le diabète de type 1 (et malgré tout imposé en France à tous les nourrissons en 2012...).
De plus, les effets indésirables survenus rapidement après l'injection permettent de faire le lien, mais quand ils surviennent des mois voire des années après, c'est difficile de la faire savoir.
Comme je le conseille dans tous mes ouvrages, remettez en question ce que je vous dis, n'hésitez pas à faire vos recherches, à faire vos conclusions, restez à l'écoute de vos ressentis, de vos intuitions et n'acceptez plus jamais de vous laisser imposer (par la peur et par la contrainte), quelque chose qui vous semble suspect.
Vous pouvez trouver ces produits:
sur le site COPMED
sur le site THERASCIENCE
[1] COVID long et effets indésirables du vaccin, Editions Guy Trédaniel, 2024
[2] Renaud Cezar , Lucy Kundura , Sonia André , Claire Lozano , Thierry Vincent , Laurent Muller , Jean-Yves Lefrant , Claire Roger , Pierre-Géraud Claret , Sandra Duvnjak , Paul Loubet , Albert Sotto , Tu-Ahn Tran , Jérôme Estaquier , Pierre Corbeau , T4 apoptosis in the acute phase of SARS-CoV-2 infection predicts long COVID, PubMed, Mars 2024
[4] ANSM, Troubles menstruels après la vaccination contre le Covid-19 : état des connaissances et conseils aux femmes concernées, juin 2022
[5] Corinne Lalo est journaliste d'investigation, grand reporter pour la presse écrite, la radio et la télévision (principalement à TF1) et spécialiste des questions d'environnement et santé. Elle a travaillé notamment sur des grands scandales de santé publique (sang contaminé, vaccin contre l'hépatite B, grippe H1N1, Médiator). Dans « Le grand désordre hormonal » , Editions Le Cherche-Midi, elle s'intéresse aux perturbateurs endocriniens, ces polluants hormonaux responsables de nombreuses pathologies répandues.
[6] Luisa Rodriguez Quejada, Maria Fernanda Toro Wills, Maria Cristina Martinez-Avila, Andrés Felipe Patino-Aldana, Troubles du cycle menstruel après la vaccination contre la COVID-19, PubMed, 2022
[7] Françoise Cambayrac, Maladies émergentes, comment s’en sortir ?, JML Éditions, 2017.
[8] Oba, M., Rongduo, W., Saito, A., Okabayashi, T., Yokota, T., Yasuoka, J., ... et Mizutani, T. (2021). L’extrait de natto, un aliment japonais à base de soja fermenté, inhibe directement les infections virales, y compris le SRAS-CoV-2 in vitro. Communications de recherche biochimique et biophysique, 570, 21-25.
[9] Michel Dogna, « La tisane de pin sylvestre : incontournable, antidote du test PCR et des vaccins ARNm », Micheldogna.fr, 20 mai 2021.
[10] C. Exley, Professeur à l'Université de Keele (GB) en chimie Bioinorganique, appelé aussi Monsieur Aluminium.
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